La Famille ALIX / DUBOIS, catholiques ou protestants ?
Il fut des époques et des lieux, où il était périlleux de vivre sa foi dans le protestantisme, sans encourir les foudres des prêtres et de la Sénéchaussée, ce qui pouvait rendre la vie bien difficile. C'était le cas dans nos paroisses de Saivres et Augé, à côté de Saint-Maixent, à la fin du XVIIème siècle et au début du XVIIIème siècle.
Louis XIV à la fin de son règne, sous l'influence de la Niortaise d'origine, Mme de Maintenon, était tombé dans une dévotion rigoriste, qui l'avait conduit à révoquer l'Edit de Nantes proclamé en son temps par le bon roi Henri IV, édit qui donnait aux protestants une relative liberté de leur culte. Pour Louis XIV, la tolérance était terminée, chacun devait rentrer dans le rang et adopter la religion catholique, sauf à subir des persécutions, souvent abominables.
A cette époque, à la fin du règne de Louis XIV, sévissait à Saivres le Père René François Boucher, Archiprêtre de l'Abbaye de Saint-Maixent, qui assumait en même temps la charge de Curé de la Paroisse de Saivres.
Et le Père Boucher était un rigoriste, qui surveillait de près ses paroissiens, et n'hésitait pas à dénoncer à la Sénéchaussée ceux qui ne remplissaient pas correctement leurs devoirs de catholiques.
Alors quand Pierre Alix est né à Lugné sur la paroisse de Saivres, le 12 juillet 1714, ses parents Jonas Alix, laboureur, et Françoise Bouffard l'ont fait baptiser le lendemain par le Père Boucher, comme les y obligeait la loi royale, même s'ils étaient en réalité des protestants convaincus.
Le treizième juillet mil sept cent quatorze a été par moy soussigné baptisé dans l'église de Sayvre Pierre né du jour devant, fils de Jonas Alyx Laboureur et de Françoise Bouffard demeurant au village de Lugné susdite paroisse. Le parrain a été messire Sébastien Boucher sieur du Magnou et la marraine Dame Jeanne Marguerite Chollet qui se sont soussignés.
Il en a été de même quelques années plus tard, quand est née Marie Scolastique Dubois, le 16 octobre 1721, au domicile de Jean Dubois, maréchal-ferrant et de Marie Rageau. Elle a aussi été baptisée par le Père Boucher.
Le 17 octobre mil sept cent vingt et un a été par moy baptisée Marie Scolastique Charlotte née du jeudy au soir fille de Jean Dubois maréchal et de Marie Rageau de cette paroisse. Le parain a été messire George Ré notaire royal et la marraine dame Charlotte Berland qui se sont soussignés avec nous.
Et pourtant eux aussi, Jean Dubois et Marie Rageau, étaient des protestants convaincus. Mais alors, on ne pouvait exercer cette foi que de façon cachée...
En 1743, Pierre Alix et Marie Scolastique Dubois ont décidé, en accord avec leurs parents, de s'unir en mariage. Comme ils avaient été baptisés l'un et l'autre dans la religion catholique, et même si le Père Boucher avait disparu de la circulation, la pression était encore là, et ils ont alors prévu de se marier à l'église catholique, bien que depuis leur naissance, ils avaient plutôt suivi les offices desservis au désert et en secret par les pasteurs protestants.
Pierre vivait alors sur la paroisse d'Augé et Marie Scolastique était sur la paroisse de Saivres.
Avant leur mariage, ils ont dû se résoudre à abjurer la religion protestante. Ils l'ont fait le même jour, le 29 août 1743, mais chacun de son côté, lui à Augé devant le Père Charles Richeteau curé d'Augé, et elle à Saivres devant le Père Laurendeau curé de Saivres.
L'an mil sept cent quarante trois et le vingt neuf aoust Marie Scholastique Charlotte Dubois fille mineure de défunt Jean Dubois maréchal et de Marie Rageau demeurant au Pont de Sayvre de cette paroisse, fiancée avec Pierre Alix laboureur, élevée et nourrie dans la RPR ( NDLR : lire "Religion Prétendue Réformée") après avoir été suffisamment instruite et éprouvée, a fait abjuration de l'hérésie de Calvin et des protestants de ces pays cy, a dit qu'elle croyait les articles de la foy de l'église romaine sur lesquels on l'a interrogée en détail, et a promis avec sérieux sur le livre des Saints Evangiles de tenir avec l'aide de Dieu cette même foy de l'église et garder ses commandements, et cela à la face des Saints Autels, en présence de nous prêtre soussigné qui luy avons donné l'absolution de l'hérésie selon la forme du rituel de ce diocèse, et des témoins soussignés, laditte Dubois a déclaré ne savoir signer. Signé Jeanne Gabrielle Aymon, Marie Scolastique Aymon, Brunet, François Maupain, et Laurendeau prêtre desservant la cure de Sayvre.
Et cinq jours plus tard le 03 septembre 1743, le père Laurendeau procédait au mariage de Pierre Alix et Marie Scolastique Dubois, dans l'église de Saivres.
Ainsi donc nos ancêtres Pierre Alix et Marie Scolastique Dubois étaient redevenus catholiques par leur mariage.
Ils sont allés s'installer ensemble à La Berthonnière, sur la commune d'Augé où Pierre travaillait déjà comme laboureur.
Vous ne savez pas où est La Berthonnière ? Une fois sortis d'Augé, en direction de Champdeniers, après le cimetière de la commune, vous tournez à droite, et vous tombez sur la grosse exploitation des frères Morille, qui élèvent des canards gras sur 66 hectares de prairies en bio, sous l 'appellation Chez Morille. La Berthonnière c'est là.
A l'époque, au milieu du XVIIIème siècle, ce devait être beaucoup plus modeste qu'en 2024...
Et le 08 juin 1744, est venue au monde, à La Berthonnière, Marie Alix, fille aînée de Pierre et Marie Scolastique.
Dans la foulée de leur mariage catholique, ils l'ont fait baptiser le jour même par le père Charles Richeteau, curé d'Augé.
Le huit juin mil sept cent quarante quatre est née et a été baptisée Marie fille légitime de Pierre Alix laboureur et de Marie Dubois son épouse demeurant à la Bertonnière de cette paroisse. Le parrain fut Jean Simonnet et la marraine Marie Simonnet tous les deux de la paroisse de La Chapelle Baston, lesquels Simonnets ont déclaré ne savoir signer. Richeteau curé d'Augé, Pierre Alix.
Après cette concession à la religion catholique, ils vont retourner bien vite à leurs préférences protestantes. Ils vont devenir comme on disait alors "relaps", c'est à dire qu'ils vont retomber dans l'hérésie qu'ils ont déjà une fois abjurée, et ce en violation des promesses faites et de leurs professions de foi.
Le 19 juin 1747 va naître à La Berthonnière une deuxième fille, Françoise Marie Alix, laquelle cette fois sera baptisée le 9 juillet suivant, au désert, par le pasteur Gounon :
L'an 1747 et le 19e juin il est né au lieu de La Bertonnière Paroisse d'Augé diocèse de Poitiers Françoise Marie Alix fille légitime de Pierre Alix et de Marie Dubois, laquelle je certifie qu'en présence des témoins je l'ay baptisée le 9e juillet de l'année susditte. Le parrain a été Pierre Delomme et la marraine Marie Redien. Foy de quoy je me suis signé. Gounon Ministre.
Le 6 janvier 1751 vient au monde leur troisième enfant, cette fois un garçon, prénommé Pierre comme son père. Il sera baptisé dans la religion protestante, au désert, par le Pasteur Gamain le 10 janvier suivant.
L'an 1751 et le sixième janvier est né Pierre fils de Pierre Alix et de Marie Charlotte Dubois habitant à La Bretonnière paroisse d'Augé diocèse de Poitiers, lequel j'ai batisé le dixième du mois et de l'année susdite tenu au baptême par Jacques Dubois et Marie Alix. En foy de quoy je suis signé. Gamain pasteur.
L'année suivante, le 10 septembre 1752, naît un quatrième enfant, Jean. Et cette fois, c'est le curé Charles Richeteau qui va le baptiser le lendemain. Pierre et Marie n'ont pas dû avoir le choix...
Le printemps de 1753 n'a pas été heureux pour la famille, les deux plus jeunes enfants, les deux garçons, Pierre et Jean, sont décédés tous les deux à trois jours d'intervalle. Un mauvais germe a dû courir de ferme en ferme et les plus fragiles n'ont pu résister...
Le quinze mai 1753 a été inhumé dans le cimetière de cette paroisse le corps de Pierre Alix, âgé de deux ans. Présent à son enterrement Jean Mimault et Jean Bigot qui s'est avec nous sousigné, ledit Mimault nous a déclaré ne savoir signer. Richeteau curé d'Augé, Pierre Alix.
Le dix huit mai 1753 a été inhumé dans le cimetière de cette paroisse le corps de Jean Alix âgé de huit mois, présent à son enterrement Pierre Alix son père et Jean Bigot sacristin, qui se sont avec nous sousignés. Richeteau curé d'Augé, Pierre Alix.
Pierre était encore en âge d'innocence, ce qui justifie que le curé ait accepté de lui ouvrir les portes du cimetière paroissial, bien qu'il n'ait pas été baptisé dans la religion catholique. Car normalement, il n'aurait pas dû y être admis. A cette époque les cimetières étaient paroissiaux, et donc n'étaient pas ouverts aux protestants, qui devaient être inhumés de nuit et clandestinement sur leurs propres terres, ou même dans la nature quand ils ne possédaient pas de terre, pourvu qu'ils ne laissent aucune trace de leur sépulture...
D'un point de vue généalogique, il est souvent difficile d'identifier les dates de décès des protestants, faute de registre sur lequel la sépulture est enregistrée. Parfois un acte de notaire constate le décès lorsqu'il ya besoin d'en faire le constat pour régler un héritage, mais lorsqu'il n'y a rien à léguer...
Au début de l'année 1754, Pierre Alix et Marie Scolastique Dubois vont changer de condition.
Michel Raymond, le fermier de la métairie de Vuzé, qui se situe à quelques centaines de mètres de La Berthonnière, a quitté sa ferme, laquelle est maintenant libre d'occupants.
Pierre Alix va obtenir du propriétaire, un nommé Martin de Niort, qu'il lui confie la ferme, valorisée au titre de la taille à 2 700 livres, et va donc aller s'y installer avec sa famille. Pierre Alix n'est plus laboureur à La Berthonnière, il est désormais fermier de Vuzé, ce qui constitue une vraie promotion sociale.
Il ne se sont déplacés que de quelques centaines de mètres, mais ils sont habitants de la paroisse de La Chapelle-Bâton, et non plus de celle d'Augé.
Et dès l'année 1755, Pierre va acquitter la taille sur la paroisse de La Chapelle-Bâton, pour un montant de 113 livres et 15 sols.
Pierre Alix fermier de Veuzé au prix de 2700 livres
appartenant au sieur Martin de Niort, cent treize livres quinze sols
Savoir
pour le logis près closture de Veuzé
évalué 250 livres 52 livres 10 sols
pour l'excédent de la ditte ferme de 2450 livres 113 livres 15 sols
consistant en domaines soumis à ferme
redevance noble et rentes 61 livres 5 sols
La taille était un impôt particulièrement impopulaire sous l'ancien régime, et surtout très inégalitaire, car en étaient exemptés les nobles, les ecclésiastiques et les grands bourgeois des villes, autrement dit ceux qui étaient les plus fortunés...
A La Chapelle-Bâton en étaient exemptés en 1755 Messire Pierre Mignot prêtre curé, Messire Pierre Guillemard Abbé de Bournuzeau et les Demoiselles de Simon Adam.
Chaque paroisse devait verser une certaine somme au titre de la taille, somme fixée au niveau de la Généralité, et ensuite, des collecteurs étaient désignés pour en assurer la répartition. Ces collecteurs étaient des habitants désignés, des artisans, des laboureurs ou des fermiers, ce n'était pas leur métier, mais ils étaient comptables de la taille, autrement dit, s'ils ne parvenaient pas à lever la somme attendue, c'était eux qui devaient en assurer le paiement sur leurs propres deniers... Motivant non ?
En 1755, la paroisse de La Chapelle-Bâton devait verser à la Généralité de Poitiers dirigée par Monsieur de La Bourdonnaye Comte de Blossac, via l'Élection de Saint-Maixent, au titre de la taille 2 150 livres au principal, plus 53 livres et 15 sols pour les remises des collecteurs, 9 livres et 12 sols pour le sceau du rôle et 2 livres pour droits de quittance, soit un total de 2 215 livres et 7 sols (une livre = 20 sols). Et c'est cette somme globale qui est répartie entre tous les "taillables" en fonction de leurs richesses et revenus. Les collecteurs étaient Nicolas Pied, Jean Thébault et Jacques Massé.
Avec 113 livres et 15 sols, Pierre Alix était en 1755 le plus gros contributeur de la paroisse... ce qui donne une idée de la valeur de la ferme de Vuzé à cette époque.
C'est à Vuzé qu'est né leur cinquième enfant, Pierre Antoine Jean, né le 22 mai 1754, peu de temps après leur arrivée dans la ferme. Et le 23 mai, il sera baptisé à l'église du village, donc catholique, par le père Mignot.
Le vingt troisième jour de mai Mil Sept Cent Cinquante quatre j'ay baptisé Pierre Anthoine Jean fils légitime de Maître Pierre Alix, fermier de Vuzé, et de Marie Dubois son épouse, l'enfant né d'hyer au logis de Vuzé.
Le parrain qui a été Pierre Pelletier métayer du Poirier et la maraine Jeanne Pelletier sa soeur n'ont su signer.
Pierre Alix, Mignot curé de La Chapelle Bâton
Puis ce sera Magdelaine, née le 20 mars 1757, et baptisée le jour même, toujours à l'église catholique...
Le vingtième jour de mars mil sept cent cinquante sept j'ay baptisé Magdelaine fille légitime de Pierre Alix fermier de Vuzé et de Marie Dubois son épouse, née du même jour au logis de Vuzé, le parain qui a été René Pelletier demeurant à la métayrie du Poirier, et la maraine Anne Laurent, n'ont su signer. Mignot curé de La Chapelle-Bâton.
Deux ans plus tard, le 25 mars 1759, nouveau baptême catholique, celui de Marie Magdelaine :
Le vingt cinquième jour de mars mil sept cent cinquante neuf j'ay baptisé Marie Magdelaine fille légitime de Pierre Alix fermier de Vuzé et de Marie Dubois son épouze, la fille née du jour précédent audit lieu de Vuzé, le parain qui a été Maître Pierre Texier marchand et la maraine Demoiselle Marie Magdelaine Raymond son épouze se sont soussignez. Pierre Alix, Pierre Texier, Marie Madeleine Raymond, Mignot curé de la Chapelle Bâton.
Alors, trois baptêmes successifs dans la religion catholique... Pierre Alix et Marie Scolastique seraient-ils redevenus sincèrement catholiques ?
Eh bien non !
Trois autres enfants vont naître à Vuzé, mais désormais tous baptisés dans les cérémonies clandestines célébrées "au désert" par les pasteurs protestants...
Jonas Alix le 14 mars 1760, baptisé par le Pasteur Gamain.
Le quatorze de mars mil sept cent soixante est né Jonas fils légitime de Pierre Alix et de Marie Dubois demeurant à Vuzé paroisse de la Chapelle Baston diocèse de Poitiers, lequel je sousigné certifie avoir batisés le vingt du mois et de l'année susdite, présenté aux bateme par Jacques Dubois et Magdelainne Redien au désert en présence de témoins. Gamain Pasteur.
Puis Jean Alix le 11 juillet 1762, baptisé par le Pasteur Pougnard.
Je sousigné certifie que l'an 1762 et le douze de juillet j'ay batizés Jean né le onze du mois et de l'année susditte, fils légitime de Pierre Alix et de Marie Dubois du lieu de Vuzé paroisse de La Chapelle Baton, diocèse de Poitier, présenté au bateme par Jean Cailbaut et Louise Vandier. Pougnard Pasteur.
Enfin Philémon Alix le 7 août 1763, baptisé par le Pasteur Gamain.
Le sept d'Aoust mil sept cent soixante et trois est né Philémon, fils légitime de Pierre Alix et de Marie Dubois, demeurant à Vuzé paroisse de La Chapelle Baton, Diocèse de Poitier, lequel je soussigné certifie avoir batisé le vingt et un du mois et de l'an susdit, présenté au batême par Philémon et Françoise Alix. Au désert en présence de témoins. Gamain pasteur.
Ainsi se clôt la descendance immédiate de Pierre Alix et Marie Scolastique Dubois.
Ainsi, si Pierre et Marie Scolastique ont tous les deux été baptisés dans la religion catholique, ils ont ensuite épousé la religion protestante aussitôt. Mais ils se sont mariés dans la religion catholique.
Sur leurs dix enfants, cinq ont été baptisés dans la religion catholique et cinq dans la religion protestante.
Par contre la totalité des mariages de leurs enfants ont été célébrés par les pasteurs protestants.
Pierre Alix, comme la plupart des protestants, avait reçu une bonne éducation. Un laboureur lettré, c'était alors extrêmement rare dans nos campagnes. Vous avez vu qu'il signait tous les actes de baptême et de mariage.
Cette éducation était souvent précisément l'apanage des familles protestantes, qui y attachaient beaucoup d'importance, alors que les prêtres catholiques cherchaient plutôt à laisser leurs paroissiens dans l'ignorance, car qui dit ignorance dit obéissance...
C'est cette éducation qui a fait qu'il a pu s'élever socialement, et il l'a ensuite transmise à ses enfants, qui eux aussi ont bénéficié de cette éducation si précieuse.
Et c'est ainsi que la famille Alix a pu donner ensuite des citoyens engagés et importants pour leur commune.
Pierre Antoine Jean Alix, l'aîné des fils (les deux premiers étant décédés très jeunes), a été élu député de la paroisse de La Chapelle-Bâton, aux côtés de Hilaire Charlot, fermier du Breuillat, lors de la convocation des Etats Généraux par Louis XVI en 1789, et ce sont eux qui ont rédigé le cahier de doléances, plaintes et remontrances de la paroisse, destiné au roi.
Jonas Alix son frère, après la promulgation de la République, sera impliqué dans la vie communale. À compter de l'an V de la République, fin 1796, il sera adjoint municipal en charge de la tenue des registres de l'Etat Civil de la commune de La Chapelle-Bâton. A partir de 1800, il en sera le maire, jusqu'à son décès en 1810.
Quant à Jean Alix, le troisième, il sera le maire de la commune de Saint-Projet. Saint-Projet est un petit village de la commune de La Chapelle-Bâton, qui avait obtenu le statut de commune à part entière pendant la révolution. Il sera définitivement rattaché à la commune de La Chapelle-Bâton par un décret royal de 1831. Jean Alix en a été le maire dans les années 1810, il l'était encore en 1813 lors du mariage de sa fille Marie.
Nous descendons de Pierre Alix et Marie Scolastique Dubois par deux branches. Ils sont donc doublement nos ancêtres...
Commentaires
Enregistrer un commentaire
Avez-vous aimé cet article ? Un commentaire ?